samedi 5 mai 2012

Bilan de Sarkozy

A la veille de l'élection présidentielle française, l'heure est venu de faire un bilan. Ce bilan sera très personnelle. Il est forcément pas neutre, ni complet et très subjectif.


Président de la France de 2007 à 2012 Sarkozy a laissé un bilan. Que retiendra-t-on de son action, de son passage à gouverner la France 



Le contexte

La présidence de Sarkosy s'est déroulé en pleine crise économique. Les attentes étaient énormes car la France avait besoin d'être réformée. Le corporatisme est très important.

Le style

 Son style a été très provocateursJ'ai eu l'impression qu'il n'était pas le président de tous les français mais de certains. Il s'est contredits souvent. Le flots d'idées et de paroles nous ont fait oubliés les précédentes. Finalement peu de choses sont restés.




Le négatif

Ce que je n'ai pas aimé et qui m'a semblé contre productive c'est la défiscalisation des heures supplémentaires. En période de crise les entreprise n'on pas trop de travail donc n'ont pas d'heures supplémentaires à proposé. Cette mesure favorise les favorisé. Ceux qui ont un travail (les favorisés) en ont encore plus. Les chômeurs ne profitent pas de cette mesure. Ce que j'ai compris c'est que cette mesure a profité surtout aux entreprises. Il aurait fallut faire une mesure de détaxer les premières heures. Cela aurait contribué à embaucher.Donc cette mesure a mon avis a été contreproductive économiquement car elle n'a pas aidé la diminution du chômage.

La fiscalité a augmenté surtout pour les plus pauvres et à baisser pour les plus riches. Je ne vais pas dètailler le bouclier fiscal et l'augmentations des taxes locales et de la TVA qui repose sur les plus pauvres. Sans compter la CSG qui est à un montant énorme. La fiscalité sur l'épargne touche aussi les plus pauvres au lieu de mettre un barème pour la mettre sur les hauts revenus du capital.


La TVA dite sociale était en réalité une couche de complexification administrative avec peu d'effet. En fait les entreprises sont favorisé et uniquement les entreprises. La TVA étant un impôt antiredistributif, il défavorise les pauvres car ils dépenses proportionnelement plus que les riches par rapport à leur revenu. Il aurait fallut avoir une TVA beaucoup plus importante de l'ordre de 25 ou 30% et diminuer les charges des entreprise et des salarié ce qui aurait donné une augmentation du salaire net. Résultat les produits chinois aurait un peu augmenté et cela aurait freiné les délocalisations.

Le référendum sur la constitution Européenne. Il l'avait dit dans son programme et il l'a fait. Le peuple a voté NON il a contourné la décision du peuple pour faire passé par le parlement un traité qui ressemble à cette constitution. Le fait de marché sur la décision du peuple a fait de lui une personne anti démocratique. Comme le résultat de ce référemdum ne le satisfaisait pas il n'en a pas tenu compte. Pour moi c'est la décision la plus grâve que je retiendrais de son mandat. L'Europe a été en panne. L'Europe semble loin des citoyens, très théorique en surtout antidémocratique.


L'Education m'a semblé inutile pour lui et c'est un poste prioritaire d'économie en diminuant le nombre d'enseignants. 


L'écologie : Il mis tout sur le nucléaire en défavorisant donc les autres types d'énergie et particulièrement le renouvelable. La diminution des aides au photovoltaique a été l'exemple type.

J'ajouterais dans son bilan négatif la dette. Sa stratégie de diminution de la dette n'a pas été efficasse. C'était beaucoup des mots mais en fait il a beaucoup dépensé et a économiser peut être la ou il ne fallait pas économisé ( l'Education).


Les choses ni positives ni négatives



Les retraites : En fait il n'avait pas le choix. C'est positif car il a réussi malgrès une forte contestation à imposer ce léger changement. J'en ai retenu que le départ à la retraite serait à partir de 67 ans. Je compte que par défaut une personne normale ne peut pas cotiser 42 ans car dans sa vie il a eu des periodes de chômage et il a commencé de travaillé à 25 ans. Ceux qui partent à 62 ans sont des favorisé qui ont eu la chance de ne pas avoir trop de trous dans leur vie.
Le caractère rigide du dispositif m'a refroidi. Il aurait fallut faire quelque chose de souple. Si on part plus tôt on a moins.

Le positif

Ce que j'ai aimé de son bilan : Les autoentreprises. Il a pu simplifié le système et permis à des gens de se lancer. C'est la mesure que je place en 1.

 Le RSA a permis a de remédier aux effets de seuils pour les plus défavorisé en les encourageant de travailler même peu.

Le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux. Mais si cela touche des profs est ce vraiment bénéfique. Si on augmente les salaires de ceux qui restent, cela ne peut pas servir à diminuer les dépenses.

Conclusion


Il a été vonlontariste. Il n'a pas caché son coté : les riches. Il a été dans son monde et a été loin de la réalité. 


Toute cette campagne électorale coûte cher et a contribuer à alourdir la dette. Heureusement que ses amis l'on aidé. Je pense é Kadafi. Mais il doit en avoir d'autres.

C'est une bonne nouvelle qu'il arrete la politique. Il n'a pas servit son pays. il a joué un rôle mais a fait peu . Le pays n'a pas été réformé comme il le dit. Il est au bord du gouffre. Le mot réforme est devenu un terme négatif désignant diminution de pouvoir d'achat. 

Si c'est moins la crise qu'en Espagne c'est grace au socialisme à la Francaise ( allocations sociale, logement rmi, chomage etc.. ) qui ont permis à des millions de survivre un peu mieux que de dormis dans la rue à demander de l'argent. 

Notre socialisme est un poids c'est vrai mais c'est aussi un frein à la descente. La baisse du pouvoir d'achat a été freiné. La rescession n'est pas si grave que cela..


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